La crise du coronavirus a fortement impacté la société en termes d’activité et d’emploi. Elle a révélé des zones de fragilité de notre économie (chaînes logistiques d’approvisionnement, secteur hospitalier) mais a aussi montré qu’une vie “ralentie”, plus locale, permet de réduire la pollution dont les émissions de CO2. Comment un plan de relance peut-il à la fois améliorer la résilience à d’autres crises et assurer la réussite de la transition écologique ? Sur quelle base peut-on construire le financement de ce plan de transformation pour que le “monde d’après” soit meilleur que le “monde d’avant” ?
Mathilde Imer, membre du Comité de gouvernance de la Convention Citoyenne pour le Climat et Gaël Giraud, directeur de recherche au CNRS, président d’honneur de l’Institut Rousseau répondront ensemble à ces questions. Stéphane Signoret, journaliste et membre de la Compagnie des négaWatts, animera cette session.